 | Titre : Si c'était à refaire Auteur : Marc Levy Edition : Pocket Date de publication : Février 2013 Nombre de pages : 407 pages Prix : 7,70€ Genre : Thriller, Romance Ma note : ❤❤❤❤ . |
Synopsis :
Andrew Stilman, grand reporter au New York Times mène l'enquête la plus importante de sa carrière. Au lendemain de son mariage, il est victime d'une agression et s'effondre, mortellement blessé, dans une mare de sang. Etrangement, il reprend connaissance, deux mois plus tôt.
Revenu soixante jours en arrière, Andrew Stilman doit choisir entre mener à terme son enquête ou découvrir son assassin et déjouer le destin. De New York à Buenos Aires, le reporter se trouve précipité dans un engrenage vertigineux.
S'engage alors une course contre la montre, entre suspense et passion, jusqu'à son dénouement... à couper le souffle.
Pourquoi ai-je acheté ce livre ?
Je l'avais acheté à sa sortie en format poche, si mes souvenirs son bons et sur un coup de tête.
Mon avis :
Cela faisait un moment que je n'avais plus lu un Marc Levy et j'avoue que cela m'avait bien manqué ! J'ai adoré retrouver son univers et c'est sans difficultés que j'ai été emportée par cette intrigue.
Direction New York où l'on rencontre Andrew, un grand journaliste du New York Times, qui a pour mission de révéler la sombre histoire de l'Argentine. Une mission qui pourrait chambouler sa vie professionnellement mais pas seulement. Quelques jours après avoir bouclé son article, Andrew se fait agresser et perd la vie. Mais la chance étant de son côté, il fait un saut dans le temps. Il est alors prêt à tout pour découvrir qui lui a ôté la vie, sauf qu'il se rendra compte assez rapidement qu'il a plus d'un ennemi...
Marc Levy a une écriture fluide, dynamique et entrainante. Il manie les mots avec une telle facilité qu'il nous entraîne sans grandes difficultés dans son univers. Ce que j'apprécie par-dessus tout, c'est la description parfaitement maîtrisée, ni de trop ni trop peu, juste ce qu'il faut. L'histoire est très bien ficelée, on n'a pas le temps de s'embêter une seconde.
Andrew est quelqu'un d'attachant mais son côté "indécis" en amour m'a agacée à plusieurs reprises. Cependant, j'ai adoré enquêter à ses côtés et trouver le meurtrier. Par contre, j'ai adoré le personnage de Simon, qui m'a beaucoup fait rire. Il est d'ailleurs la note d'humour de ce roman.
Surprise ! On retrouve l'inspecteur Pilguez qui maintenant est à la retraite. Rappelez-vous! C'était lui l'inspecteur dans le roman "Et si c'était vrai...". Encore un personnage que j'avais adoré. Il est d'ailleurs là, pour aider notre cher Andrew mais on a aussi quelques nouvelles d'Arthur & Lauren.
Le plus, c'est en aucun doute l'originalité de l'histoire et la situation dans laquelle se retrouve notre personnage principal. Je suis complètement séduite.
En résumé, c'est sans hésitation que je vous recommande ce roman que j'ai adore !
Quelques citations :
"Le succès dépend d'une bonne préparation."P.14
"La vie n'est pas comme l'un de ces appareils modernes où il suffit d'appuyer sur un bouton pour rejouer le morceau choisi."P.71
"L'amour ne naît pas d'une communauté de gènes."P.160
"Les souvenirs sont parfois comme ces photographies blanchies par le temps, dont les détails ressurgissent à la faveur d'un certain éclairage."P.264
"L'amour de sa vie, c'est celui qu'on a vécu, pas celui qu'on a rêvé."P.380
Andrew Stilman, grand reporter au New York Times mène l'enquête la plus importante de sa carrière. Au lendemain de son mariage, il est victime d'une agression et s'effondre, mortellement blessé, dans une mare de sang. Etrangement, il reprend connaissance, deux mois plus tôt.
Revenu soixante jours en arrière, Andrew Stilman doit choisir entre mener à terme son enquête ou découvrir son assassin et déjouer le destin. De New York à Buenos Aires, le reporter se trouve précipité dans un engrenage vertigineux.
S'engage alors une course contre la montre, entre suspense et passion, jusqu'à son dénouement... à couper le souffle.
Pourquoi ai-je acheté ce livre ?
Je l'avais acheté à sa sortie en format poche, si mes souvenirs son bons et sur un coup de tête.
Mon avis :
Cela faisait un moment que je n'avais plus lu un Marc Levy et j'avoue que cela m'avait bien manqué ! J'ai adoré retrouver son univers et c'est sans difficultés que j'ai été emportée par cette intrigue.
Direction New York où l'on rencontre Andrew, un grand journaliste du New York Times, qui a pour mission de révéler la sombre histoire de l'Argentine. Une mission qui pourrait chambouler sa vie professionnellement mais pas seulement. Quelques jours après avoir bouclé son article, Andrew se fait agresser et perd la vie. Mais la chance étant de son côté, il fait un saut dans le temps. Il est alors prêt à tout pour découvrir qui lui a ôté la vie, sauf qu'il se rendra compte assez rapidement qu'il a plus d'un ennemi...
Marc Levy a une écriture fluide, dynamique et entrainante. Il manie les mots avec une telle facilité qu'il nous entraîne sans grandes difficultés dans son univers. Ce que j'apprécie par-dessus tout, c'est la description parfaitement maîtrisée, ni de trop ni trop peu, juste ce qu'il faut. L'histoire est très bien ficelée, on n'a pas le temps de s'embêter une seconde.
Andrew est quelqu'un d'attachant mais son côté "indécis" en amour m'a agacée à plusieurs reprises. Cependant, j'ai adoré enquêter à ses côtés et trouver le meurtrier. Par contre, j'ai adoré le personnage de Simon, qui m'a beaucoup fait rire. Il est d'ailleurs la note d'humour de ce roman.
Surprise ! On retrouve l'inspecteur Pilguez qui maintenant est à la retraite. Rappelez-vous! C'était lui l'inspecteur dans le roman "Et si c'était vrai...". Encore un personnage que j'avais adoré. Il est d'ailleurs là, pour aider notre cher Andrew mais on a aussi quelques nouvelles d'Arthur & Lauren.
Le plus, c'est en aucun doute l'originalité de l'histoire et la situation dans laquelle se retrouve notre personnage principal. Je suis complètement séduite.
En résumé, c'est sans hésitation que je vous recommande ce roman que j'ai adore !
Quelques citations :
"Le succès dépend d'une bonne préparation."P.14
"La vie n'est pas comme l'un de ces appareils modernes où il suffit d'appuyer sur un bouton pour rejouer le morceau choisi."P.71
"L'amour ne naît pas d'une communauté de gènes."P.160
"Les souvenirs sont parfois comme ces photographies blanchies par le temps, dont les détails ressurgissent à la faveur d'un certain éclairage."P.264
"L'amour de sa vie, c'est celui qu'on a vécu, pas celui qu'on a rêvé."P.380
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