Synopsis :
Voici Mia dans la capitale, Washington, DC. Elle n'est pas très enthousiaste sur sa mission du mois, servir de faire-valoir à un riche et vieil homme d'affaires, Warren Shipley.
Mais elle change d'avis quand elle rencontre son fils, Aaron. Il est non seulement irrésistible physiquement, mais aussi le plus jeune sénateur des Etats-Unis. Mia, qui pensait que la politique était un monde ennuyeux, va s'apercevoir qu'il n'y a rien de plus excitant. Et, pourtant, il va lui falloir beaucoup de force et de courage pour surmonter de bien tristes événements.
Mon avis :
Il y a peu je refermais le tome précédent, celui de mai, avec un peu de déception due à l'inaction bien trop présente.
A mon plus grand désarroi, cela continue. J'ai trouvé que ce sixième tome a pris un temps fou avant de démarrer. Les cinq premiers chapitres ont été assez longs à lire malgré le peu de pages...
Cependant, on retrouve une Mia entremetteuse comme on l'aime, pleine de vie et de bonnes intentions envers son nouveau client ainsi que pour la dame de maison. Ce que j'adore chez Mia, c'est son côté bonne fée. Elle me fait d'ailleurs penser à Joséphine l'ange gardien !
Surprise ! C'est presque arrivé à la fin que l'on retrouve enfin de l'action, du mouvement. Et quel mouvement, quel évènement !
Audrey Carlan a su me surprendre sur cette fin, en cassant cette routine qui commençait à s'installer petit à petit. Encore une fois, l'auteur s'attaque à un sujet difficile qui ne peut que nous toucher mais je ne vous en dirai pas plus pour ne pas vous spoiler.
En refermant ce chapitre dont la fin est plutôt surprenante, je n'ai qu'une hâte, me plonger dans le tome de juillet qui nous annoncent un petit voyage calienté auprès d'un danseur et chanteur de hip-hop. En résumé, le tome de Juin est à moitié décevant pour son démarrage assez lent mais il se rattrape avec un dénouement à la hauteur !
Quelques citations :
"Le monde serait bien plus beau si les gens disaient ce qu'ils pensent."P.12
"Peut-être y a-t-il des gens qui ne se remettent jamais de leur premier amour. Bon sang, j'espère que ce n'est pas vrai, parce que mon premier était catastrophique."P.67
"Cela me résume plutôt bien, finalement, touche-à-tout, médiocre pour beaucoup de choses, talentueuse en rien du tout."P.123