Titre : Jules
Auteur : Didier Van Cauwelaert
Edition : Le livre de poche
Date de publication : Février 2017
Nombre de pages : 248 pages
Prix : 7,10€
Genre : Contemporaine
Ma note : ❤❤❤❤ .
Auteur : Didier Van Cauwelaert
Edition : Le livre de poche
Date de publication : Février 2017
Nombre de pages : 248 pages
Prix : 7,10€
Genre : Contemporaine
Ma note : ❤❤❤❤ .
Synopsis :
« À trente ans, Alice recouvre la vue. Pour Jules, son chien guide, c’est une catastrophe. Et en plus on les sépare. Alors, il se raccroche à moi. En moins de vingt-quatre heures, ce labrador en déroute me fait perdre mon emploi, mon logement, tous mes repères. Il ne me reste plus qu’une obsession – la sienne : retrouver la jeune femme qui nous a brisé le coeur. »
Entre une miraculée de la chirurgie et un vendeur de macarons, une histoire de renaissance mutuelle et de passion volcanique orchestrée, avec l’énergie du désespoir, par le plus roublard des chiens d’aveugle.
Mon avis :
C'est en fessant mes courses que cette couverture m'a interpellé ainsi que sa quatrième de couverture ! En promettant une histoire d'amour grâce à un chien le tout parsemé d'humour.
J'ai été transporté par cette histoire atypique et rocambolesque. Par Zibal qui voit sa vie se disloquer en moins de 24 heures mais qui malgré tout par à l'aventure ou plutôt à la recherche de la maitresse de son nouveau compagnon Jules. De Jules, ce chien d'aveugle, qui est plus qu'intelligent et qui veut remplir sa mission jusqu'au bout. Et à cette femme, Alice, qui se redécouvrent à travers sa vue qu'elle avait perdue!
Embarquement immédiat dès les premières pages, avec cette plume poétique et agréable. A ses tournures de phrases qui nous font réfléchir en tant que lecteur. Délicatement mais surement Didier Van Cauwelaert pointe du doigt les maladies du siècle et où la plupart des gens se concentrent sur leur nombril. Il n'est pas seulement porteur d'un message mais aussi d'un point de vue.
J'ai beaucoup apprécié la narration. J'ai aimé qu'à chaque chapitre, on change de personnage que l'on ait une fois la vision des choses d'Alice pour ensuite avoir celle de Zibal et vice & versa.
De plus on sent que l'auteur maitrise son sujet et en même temps nous transmet son adoration pour les chiens d'aveugle.
Maintenant pour ce qui de la comédie, je reste un peu sur ma faim... Oui il y a beaucoup de remues ménages et on ne sait plus où donner de la tête, mais c'est ce qu'il m'a manqué et qui fait que ce n'est pas un coup de coeur.
Pourtant, c'est sans hésitation que je vous invite à voyager en compagnie de Jules qui vous fera sans hésitations tourner la tête !
Quelques citations :
"Je sais par expérience qu'il faut se méfier des coups de foudre, mais je suis brutalement devenu amnésique en la découvrant au milieu de la foule."P.7
"Moi qui passais mon temps à fermer les yeux sur ce que les gens sérieux appellent la "vraie vie", j'aurais tant voulu soudain servir de regard à une femme comme elle."P.10
"La ville est peuplée d'autistes qui parlent tous seuls sans se regarder. Narcisses Twitteurs épuisés par le stress qui les propulse, ils sont devenus hybrides comme leurs voitures. Les inconvénients cumulés de l'émission polluante et des batteries qui se déchargent."P.77
"Ce que je vis est complètement absurde, pourtant j'ai l'impression de me réveiller dans mon élément après des années d'hibernation."P.81
"J'étais quelqu'un de bien, dans le noir. Là, j'ai du mal à me reconnaître."P.171
"Mon problème a toujours été à la fois le manque de moyens et l'absence de limites : tout m'intéresse, tout me disperse et tout me ruine."P.131
"Je suis une femme normale, tu sais. Mais ça ne veut pas dire que je suis simple."P.192
« À trente ans, Alice recouvre la vue. Pour Jules, son chien guide, c’est une catastrophe. Et en plus on les sépare. Alors, il se raccroche à moi. En moins de vingt-quatre heures, ce labrador en déroute me fait perdre mon emploi, mon logement, tous mes repères. Il ne me reste plus qu’une obsession – la sienne : retrouver la jeune femme qui nous a brisé le coeur. »
Entre une miraculée de la chirurgie et un vendeur de macarons, une histoire de renaissance mutuelle et de passion volcanique orchestrée, avec l’énergie du désespoir, par le plus roublard des chiens d’aveugle.
Mon avis :
C'est en fessant mes courses que cette couverture m'a interpellé ainsi que sa quatrième de couverture ! En promettant une histoire d'amour grâce à un chien le tout parsemé d'humour.
J'ai été transporté par cette histoire atypique et rocambolesque. Par Zibal qui voit sa vie se disloquer en moins de 24 heures mais qui malgré tout par à l'aventure ou plutôt à la recherche de la maitresse de son nouveau compagnon Jules. De Jules, ce chien d'aveugle, qui est plus qu'intelligent et qui veut remplir sa mission jusqu'au bout. Et à cette femme, Alice, qui se redécouvrent à travers sa vue qu'elle avait perdue!
Embarquement immédiat dès les premières pages, avec cette plume poétique et agréable. A ses tournures de phrases qui nous font réfléchir en tant que lecteur. Délicatement mais surement Didier Van Cauwelaert pointe du doigt les maladies du siècle et où la plupart des gens se concentrent sur leur nombril. Il n'est pas seulement porteur d'un message mais aussi d'un point de vue.
J'ai beaucoup apprécié la narration. J'ai aimé qu'à chaque chapitre, on change de personnage que l'on ait une fois la vision des choses d'Alice pour ensuite avoir celle de Zibal et vice & versa.
De plus on sent que l'auteur maitrise son sujet et en même temps nous transmet son adoration pour les chiens d'aveugle.
Maintenant pour ce qui de la comédie, je reste un peu sur ma faim... Oui il y a beaucoup de remues ménages et on ne sait plus où donner de la tête, mais c'est ce qu'il m'a manqué et qui fait que ce n'est pas un coup de coeur.
Pourtant, c'est sans hésitation que je vous invite à voyager en compagnie de Jules qui vous fera sans hésitations tourner la tête !
Quelques citations :
"Je sais par expérience qu'il faut se méfier des coups de foudre, mais je suis brutalement devenu amnésique en la découvrant au milieu de la foule."P.7
"Moi qui passais mon temps à fermer les yeux sur ce que les gens sérieux appellent la "vraie vie", j'aurais tant voulu soudain servir de regard à une femme comme elle."P.10
"La ville est peuplée d'autistes qui parlent tous seuls sans se regarder. Narcisses Twitteurs épuisés par le stress qui les propulse, ils sont devenus hybrides comme leurs voitures. Les inconvénients cumulés de l'émission polluante et des batteries qui se déchargent."P.77
"Ce que je vis est complètement absurde, pourtant j'ai l'impression de me réveiller dans mon élément après des années d'hibernation."P.81
"J'étais quelqu'un de bien, dans le noir. Là, j'ai du mal à me reconnaître."P.171
"Mon problème a toujours été à la fois le manque de moyens et l'absence de limites : tout m'intéresse, tout me disperse et tout me ruine."P.131
"Je suis une femme normale, tu sais. Mais ça ne veut pas dire que je suis simple."P.192
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