Jeremiah Hamilton, le milliardaire dont Lucy est tombée amoureuse, a retrouvé la jeune femme aux mains de son frère Lucas, qui l'a mêlée à ses dangereux trafics. Tous trois doivent maintenant faire face à de nouvelles menaces, qui dépassent les rivalités entre Hamilton.
Au-delà des risques qu'elle court, Lucy est torturée par un secret qui pourrait bien détruire sa relation avec Jeremiah, alors qu'elle avait pris une nouvelle dimension.
Pourquoi ai-je acheté ce livre ?
Jusqu'à présent, j'adore cette saga, alors pourquoi m'arrêter en si bon chemin ?
Mon avis :
C'est avec curiosité que j'ai ouvert ce septième tome. Après l'entrée fracassante de Jeremiah... Encore une fois, je n'ai pas été déçue car je n'ai pas eu le temps de m'ennuyer.
Lucy est dans de beaux draps... Elle qui pensait que Jeremiah n'en avait rien à fiche d'elle, le voilà qu'il débarque sur le bateau de son frère afin de la sauver ! Sauf que pendant l'absence de Jeremiah, elle s'est fortement rapprochée de Lucas...
Suite aux différentes menaces reçues, la voilà contrainte de supporter les frères Hamilton et leurs chamailleries dans un autre pays qu'elle ne connaît pas : Dubaï. Avouera-t-elle à Jeremiah sa relation avec Lucas ? Comment réagira-t-il ?
Lucy reste toujours aussi incompréhensible à certains moments. Elle est perdue entre les deux frères et ne sait que faire. Malgré tout, elle reste attachante. Quant aux frères, j'ai adoré leurs chamailleries incessantes.
On pensait que Sara Fawkes nous avait montré le maximum au niveau du suspens... Eh non, ça continue de plus belle. Le tout dans un nouveau cadre ce qui donne une certaine fraicheur à l'histoire.
Dans ce tome, il y a encore moins d'érotisme que dans le précédant mais ce n'est pas pour me déplaire. A mon grand étonnement, car il y a des sentiments qui font leur apparition.
J'ai adoré ce nouveau tome, qui est tout en sensibilité et subtilité. Ce qui ne présage que le meilleur pour la suite. C'est donc avec hâte que je me lancerai dans le prochain tome !
Quelques citations :
"L'arrogance précède la ruine."P.85
"Se moquer de sa propre famille est une chose, c'en est une autre qu'un étranger le fasse."P.106